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FICHES DE LECTURE – DARRIEUSSECQ, « Il faut beaucoup aimer les hommes » (2013) OUATTARA

CRITIQUE LITTÉRAIRE

Marie DARRIEUSSECQIl faut beaucoup aimer les hommes. , 2013, Prix Médicis

FICHE TECHNIQUE

DARRIEUSSECQ(Marie), Il faut beaucoup aimer les hommes, 2013, Paris, aux éditions P.O.L., 320 pages, prix Médicis 2013, 311 pages. Continuer la lecture de FICHES DE LECTURE – DARRIEUSSECQ, « Il faut beaucoup aimer les hommes » (2013) OUATTARA

2002 – Assia DJEBAR, La femme sans sépulture.

« Une joie dure. »

« […] 10 Troisième monologue de Zoulikha

A la ferme, chez mon père, le jour où je quittai l’école (l’école française, bien sûr !), mon père donc était si fier de répéter partout : « La première Araba, ma fille, à avoir eu son certificat d’études dans la région, peut-être même dans tout le département ! » Ce jour-là, je me souviens, je sautillais sur le sentier Continuer la lecture de 2002 – Assia DJEBAR, La femme sans sépulture.

ANTHOLOGIE – 1953, Camara LAYE, L’Enfant noir. « Recevoir sur le derrière une correction mémorable. »

« Recevoir sur le derrière une correction toujours mémorable. »

 « […] A l’école, nous gagnions nos places, filles et garçons mêlés, réconciliés et, sitôt assis, nous étions tout oreille, tout immobilité, si bien que le maître donnait ses leçons dans un silence impressionnant.  Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1953, Camara LAYE, L’Enfant noir. « Recevoir sur le derrière une correction mémorable. »

ANTHOLOGIE – 1968-1970, Ahmadou KOUROUMA, Les soleils des indépendances. « Faire l’exégèse des dires afin de trouver sa propre destinée. »

« Faire l’exégèse des dires afin de trouver sa propre destinée. »

 « […] Les voyageurs débarquèrent au quartier malinké où les cases se serraient dans une odeur de fumée et de pissat de vache.

Et à cet instant le soleil tomba derrière une montagne et de l’autre sortirent le brouillard et l’ombre. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1968-1970, Ahmadou KOUROUMA, Les soleils des indépendances. « Faire l’exégèse des dires afin de trouver sa propre destinée. »

ANTHOLOGIE – 2008 – Abdourahman WABERI, Aux Etats-Unis d’Afrique. « Le théâtre de ton périple. »

« Le théâtre de ton périple. »

 « […] Ton programme tient en deux mots, ma tendre Malaïka. Retrouver la trace de ta mère première, la femme sans visage, inaccessible à ce jour. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 2008 – Abdourahman WABERI, Aux Etats-Unis d’Afrique. « Le théâtre de ton périple. »