Archives par mot-clé : indépendances

ANTHOLOGIE – 1998, Emmanuel DONGALA, Les petits garçons naissent aussi des étoiles. « La nouvelle couleur fétiche devint le rouge. »

« La nouvelle couleur fétiche devint le rouge. »

 « […] Il faut vous dire que la chance n’était pas avec moi car j’avais choisi le mauvais jour pour prétendre ouvrir mes yeux au monde. C’était le 15 août : non seulement cette date était importante en elle-même parce que c’était le jour de note fête nationale, mais c’était le 15 août 1980, vingtième anniversaire de l’Indépendance. La fête était donc plus qu’exceptionnelle.  Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1998, Emmanuel DONGALA, Les petits garçons naissent aussi des étoiles. « La nouvelle couleur fétiche devint le rouge. »

ANTHOLOGIE – 1952, Franz FANON, Peau noire, masques blancs. « Le Nègre n’est pas. Pas plus que le blanc. »

« Le Nègre n’est pas. Pas plus que le Blanc. »

 « […] Ma vie ne doit pas être consacrée à faire le bilan des valeurs nègres.

            Il n’y a pas de monde blanc, il n’y a pas d’éthique blanche, pas d’avantage d’intelligence blanche.  Il y a de part et d’autre du monde des hommes qui cherchent. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1952, Franz FANON, Peau noire, masques blancs. « Le Nègre n’est pas. Pas plus que le blanc. »

ATLAS Histoire Lycée – « 1945: l’illusion impériale. »

ATLAS

Atlas d’Histoire

 » 1945: l’illusion impériale. »

 L'illusion impériale 1945

© Fond de carte Daniel DALET © Infographie et numérisation Erwan BERTHO

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ANTHOLOGIE – 1956, Ferdinand OYONO, Le vieux nègre et la médaille. « Sa tête montait comme la tour de Babel à l’assaut du ciel. »

« Sa tête montait comme la tour de Babel à l’assaut du ciel. »

 « […] Ce fut le tour de Meka. Le grand Chef des Blancs se mit à vociférer devant lui. Selon qu’il ouvrait ou fermait les lèvres, sa mâchoire inférieure s’abaissait et se relevait, gonflant et dégonflant le dessous de son menton. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1956, Ferdinand OYONO, Le vieux nègre et la médaille. « Sa tête montait comme la tour de Babel à l’assaut du ciel. »